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vendredi 21 juillet 2017

Le camping n'est plus ce qu'il était

Le camping en véhicule récréatif en juillet n'est plus ce qu'il était
Quelques campings visités ces dernières années: des emplacements larges, des petits, des cordés...
Je reviens d’une escapade de six jours : Lévis, La-Baie, Saint-Siméon. 

L’été, je voyage rarement. Depuis belle lurette que j’ai réalisé que le trop de monde sur la route, le trop de monde dans les campings, le trop de chaleur en juillet et août, ce n’est pas pour moi. Habituellement, je reste à la maison. Mais là, je voulais aller voir le spectacle La fabuleuse histoire d’un royaume au Saguenay et il ne commence qu’en juillet. Billets achetés pour le vendredi. Je me résigne également à réserver le camping pour au moins le vendredi après le spectacle. Première surprise : on ne peut pas réserver pour une seule nuitée, le vendredi. On ne tient pas à y passer le week-end. On nous promet tout de même de ne pas nous laisser tomber. On n’a qu’à se présenter le vendredi après le spectacle, on nous trouvera bien un emplacement sans service. 

J’en ai profité pour planifier un arrêt à Lévis pour un petit changement sur mon véhicule récréatif. Rendez-vous pris le jeudi à 8 heures du matin. Où coucher la veille pour arriver si tôt à l’entreprise, quand on sait qu’il y a 5,000 employés qui travaillent chez Desjardins et donc envahiront la route très tôt? On nous accorde la permission de coucher sur le terrain adjacent au garage. On nous assure que nous ne serons pas dérangées. Ce fut le cas, mais tout de même, je ne suis jamais à l’aise d’être le seul véhicule récréatif dans un grand stationnement vide.

Pour les autres nuitées, on verrait sur place.

Ce ne fut pas l’enfer. Ce ne fut pas le désastre. Ce ne fut ni le déluge ni la canicule. 
Je ne trouve pas le mot exact pour définir l’émotion qui persiste au retour de ces six jours.
Pas de la colère, plutôt comme un fond de tristesse, une déception. 
Pour faire du camping en juillet, il faut faire preuve de souplesse, d’adaptabilité, sinon, c’est certain, ce ne sera que contrariétés.

À Lévis, tout s’est bien déroulé, nous avons facilement traversé Québec le lendemain. 

À Saint-Ambroise, au Géant du motorisé où on peut rester dix jours gratuitement, malgré que deux groupes aient envahi les emplacements, des préposés nous ont trouvé une place chez les V.I.P.

À La-Baie, nous avons eu l’heureuse idée de nous présenter au camping tôt dans l’après-midi. Il n’y avait plus d’emplacements disponibles, même dans la section sans service, mais comme nous leur avons rappelé qu’ils nous avaient promis de ne pas nous laisser tomber, ils nous en ont trouvé un, très bien situé d’ailleurs. Nous avons pu assister au spectacle — de toute beauté, grandiose — en toute quiétude, sachant qu’au retour, nous pouvions nous installer en toute sécurité. 

À Saint-Siméon, même si nous personne n’a répondu à notre courriel envoyé ni répondu au téléphone le matin de notre arrivée, même si personne n’a répondu à l’appel de la préposée du kiosque d’information touristique de L’Anse-Saint-Jean, une fois sur place, l’employé nous a indiqué le numéro 55. On grimpe sur le terrain du haut : deux tentes, deux autos sont installées au numéro 55. Et personne sur place. Le 56 est libre, mais notre 22 pieds n’y entre sûrement pas. Retour à l’accueil : « installez-vous à côté du 41 et branchez-vous sur le poteau du 41. » Nous nous faufilons entre une tente et un gros motorisé et, nous entamons des discussions avec les campeurs pour partager table, eau, électricité.

Jeune, au temps de la tente et des vacances en été, je privilégiais la vie un peu tranquille sur le bord des lacs ou bien blottie au fond d'un terrain vaguement défini, entouré d'arbres. C’était l’observation des oiseaux, des sturnelles ou des cormorans, des pics ou des hérons. Le canoë, le kayak, le vélo, la marche, la baignade. Le feu de camp le soir. 
Je me laissais charmer par le bruit de la cascade et par l’effort du saumon qui ne se méfie pas de la mouche artificielle.
Je profitais des odeurs de varech ou celles des conifères. 
Je m’endormais devant le ciel étoilé ou je me réveillais devant la beauté du brouillard matinal qui se lève au-dessus des rivières.
Je dois admettre qu'il y avait quand même des abus: des jeunes qui s'étaient promis de vider au moins deux caisses de 24 ou qui n'appréciaient le camping qu'avec une grosse radio portative qui jouait entre trois heures l'après-midi et parfois jusqu'à trois heures du matin. Mais, nous n'étions pas si tassés, nous n'étions pas obligés de réserver ni de nous contenter des emplacements restants.

Mais, cette année, et de plus en plus souvent, surtout si c’est l’été, si c’est juillet, la nature est remplacée par les humains. Les employés sont gentils, en général patients. Les campeurs généreux, joyeux. Mais ils sont nombreux à vouloir les mêmes endroits : les gratuits ou les bords du fleuve ou les grands emplacements. Ou des vacanciers qui n’ont qu’une envie : parler, raconter leurs voyages, s’esclaffer sur vos aventures. Ou les leurs. Des souvenirs à chérir et égrener. 
C’est l’entraide aussi : pour reculer, pour dépanner, pour partager. Et j'apprécie. 

Rarement le silence.
Pour le silence, soit il faut revenir à la maison, soit voyager en juin ou en septembre. 

Trop de monde partout. Trop de difficulté à trouver un emplacement. Surtout les fins de semaine. Ou trouver des campings qui ne ressemblent pas à des stationnements. 

Ce qui confirme encore une fois qu’on ne veut pas voyager en été. 
Moi qui ne tiens pas particulièrement à parler avec tant de gens plus de cinq minutes, moi qui n’aime pas empiéter sur le terrain du voisin pas plus que je n’aime voir les voisins — enfants, adultes ou animaux — passer sur le mien et même s’y planter pour une petite jasette (un peu comme dans les salons du livre ou les expositions quand les visiteurs se plantent devant votre kiosque et commencent à discuter de tout et de rien), quelle patience il me faut parfois. Quelle adaptabilité je dois développer.
Pourtant sur le coup, ça m’a paru acceptable. Rien de réellement négatif. L’impatience n’a pas gagné. Juste la bonne humeur qui s’est effritée à mesure que la température montait.

Il me semble que c’était plus facile dans les années » 80. Au temps des tentes ou du début des tentes-roulottes. Moins de véhicules récréatifs qui réclament l’eau et l’électricité, le wi-fi et l’absence d’arbre pour installer leur coupole. Et des prix raisonnables. Et facilement accessibles aux 35 pieds. Et avec vue imprenable. 

Serais-je blasée? Ou nostalgique? Ou sauvage? Un peu de tout.

vendredi 20 juin 2014

Trois pour le prix d'une

Trois plaisirs pour le prix d'une escapade de quatre jours dans la région de la Yamaska Nord
Dans l’ordre : premier plaisir, le camping
Deuxième : le vélo
Troisième : la lecture


Le camping : je me suis réconciliée avec les Sepaq. Je les boudais parce que je trouvais prohibitifs leurs coûts d’entrée : 7,50 $ par jour par personne. En prenant une passe pour le réseau : 135 $ pour deux, j’ai accès à tous les parcs, sans avoir à me soucier de ces frais d’accès. En les oubliant, j’ai l’impression de ne pas les payer. Reste le camping. Le sans service est de 29 $ la nuitée et le deux services de 38,25 $ Plus les taxes. Disons que c’est un prix assez compétitif si on ne compare pas les genres de campings. Dans les Sepaq, ce ne sont pas les services, le wi-fi ou les activités qu’on va chercher, mais surtout l’espace et la nature. La nature et encore la nature. Alors au parc Yamaska, je fus servie, gâtée. J’ai beaucoup aimé.

Le vélo : des pistes cyclables, des vraies, pas des bandes cyclables le long d’une route. Le rêve pour une promeneuse comme moi. Je ne cherche plus ces sentiers de vélo de montagne escarpées où il faut grimper, descendre debout sur les pédales. Je préfère le plat, le facile. Autour de Granby, je suis servie. Une région où je n’allais plus puisqu’il fallait passer par Montréal, Décarie et pont Champlain. Avec l’ouverture d’un tronçon de l’autoroute 30 du barrage de Beauharnois, je peux me rendre dans les Cantons de l’Est dans un petit deux heures. Des points de vue le long du réservoir Choinière, des haltes le long de rivière Yamaska Nord. Du soleil, des gens gentils. Rien que du présent.

La lecture: ça faisait longtemps que je n’avais pas lu. Longtemps, dans mon cas, c’est près de trois semaines. Faisait encore plus longtemps que je n’avais pas lu un livre:
1- écrit par une femme
2- écrit par une auteure de ma génération (nous avons dix mois de différence)
3- écrit par une Québécoise

Et ce n’est pas tout, elle a écrit sur la mort de sa mère survenue en décembre 2011, or la mienne est décédée en mai 2012. Pire encore, tout comme dans ma famille, elle a une tante qui a séjourné à Saint-Jean-de-Dieu de Montréal et à Saint-Michel-Archange de Québec.

Donc, identification, sentiment de sororité. J’ai lu avec grand intérêt.

Heureusement, je n’avais pas Internet, je me serais ruée sur ma tablette pour tout savoir de cette auteure et peut-être même lui écrire. Ce que je ferai peut-être. Pour lui dire merci. Merci d’avoir écrit sur la relation mère-fille, sur la mort, sur celle des autres, sur la nôtre qui viendra trop vite.

À la mort de mon père, je n’ai pas senti le besoin d’écrire sur lui. Dans les faits, j’ai écrit sa biographie avant qu’il ferme les yeux pour toujours, un certain soir du mois d’août 2006. J’étais plus fille de mon père que fille de ma mère, je dirais. Ce sont pourtant des images de ma mère qui resurgissent parfois. Je revois les derniers jours quand je lui tenais la main. Je cherche encore ce qu’elle voulait me dire en ouvrant la bouche et en murmurant trois « mouah» en me regardant. Je ne saurai jamais. Il me vient des émotions dans un geste de ses petits-enfants. Je me dis qu’elle aurait aimé, souri.

Louise Dupré dans L’album multicolore a tout de même écrit 191 pages sur ce sujet. Je la remercie d’avoir tant écrit, sans trop de répétitions, à part sa «mauvaise lumière du salon», qui à la fin me faisait sourire.

Je lui envie son éditeur qui a accepté de publier un tel récit. Je me demande s’il lui a suggéré d’enlever quelques « mauvaise lumière du salon ». Bien sûr, j’ai noté plusieurs phrases dont celle-ci : « mais, même sans larmes, l’enfance reste tapie dans un coin sombre, elle nous guette, elle ne meurt jamais ». Je ne fus pas surprise d’y voir une phrase que je glisserai dans mon prochain roman. J’aurai l’air d’avoir copié, mais la mienne a été écrite  en 2006 : « on ne sort pas indemne de son enfance ».

En voyant sa bibliographie et les nombreux prix remportés, je me réjouis pour elle de sa réussite. Je ne suis pas très poésie, mais je lirai certainement ses romans.

dimanche 8 septembre 2013

Le titre « Vélo à Granby » ne dit pas tout, ne dit rien en fait

Il y a des billets qui s’écrivent rapidement, d’autres parfois demandent des recherches. Et comme en cherchant, on s’aperçoit qu’on en a déjà parlé, presque fait le tour de la question, on se demande bien comment se renouveler et réussir à raconter ce qu’on a vécu, en images ou en mots, ces deux jours à Granby. 

Les photos ne reflétant pas notre état de corps, de cœur et d’esprit, on s’acharne sur les mots qui eux non plus ne nous satisfont pas. Les jours passent, les occupations nous amènent ailleurs. 

Pour dire tout le bonheur que j’ai ressenti à pédaler sur la piste cyclable de Granby, j’ai voulu retrouver toutes mes bicyclettes, mais avant l’ère du numérique, il y eut de vielles photos en noir et blanc, des diapositives, des films en 8mm ou, pas de photos du tout. 

En 2010 et 2011, sur ce blogue, j’ai déjà conté des grands bouts de mes aventures en vélo.


Avant ma première bicyclette, j'ai dû partager avec celles de mon frère. (Je pleurais peut-être pour avoir la mienne!)

8 ans : bicyclette bleue à rétropédalage, a connu les côtes de Lévis

18 ans : vélo 10 vitesses de fille, rouge et blanc, a connu Sorel, le lac Simon

20 ans : vélo 10 vitesses de gars, de marque Raleigh acheté au Canada, vendu à Londres, a connu l'Irlande

25 ans : vélo de gars 12 vitesses

26 ans : vélo-solex, à l’essence, un petit moteur qu’on descend sur la roue avant, a connu les parcs du Saint-Laurent


30 ans : emprunt d’un vélo pour course Lac-des-Plages/Montebello




31 ans : mobylette à essence, une vraie comme celle des Français. Très peu de techniciens pour les réparations, a connu le parc du Mont-Tremblant




40 ans : retour au vélo ordinaire, vélo de gars, 12 vitesses, a connu Cape Cod



Autour de 50 ans : vélo de fille, 18 vitesses que je n'ai vendu que cette année (2013), a connu une bonne partie de la province



57 ans : vélo électrique, batterie au plomb, a connu les États-Unis


63 ans : vélo électrique, batterie au Lithium, connaîtra le sud des États-Unis

La simple énumération des divers vélos ne dit rien des hésitations et des deuils entre chacun, des émotions que chacun m’a procurées, des histoires que j’ai vécues. Et pourtant, c’est entre ces lignes, entre ces âges, entre ces années que s’est insinué ce besoin constant de retrouver le plaisir premier, celui qui date du tout début, de la première fois : la possibilité de partir seule à l’aventure.

Chaque fois que j’ai décidé de changer, d’en acheter un nouveau, un plus performant, un électrique pour plus de facilité, c’était pour retrouver ce bonheur tout simple d’aller voir de nouveaux paysages, de découvrir de nouvelles odeurs, de respirer le doux air de la liberté.
 Avec la venue des pistes cyclables — asphaltées ou en pierre de roche, mais loin de la rue achalandée et dangereuse —, je suis bien heureuse de renouer avec ce sentiment d’évasion. 

Mon vélo électrique rouge, celui avec la lourde batterie de plomb répondait plus à un besoin d’utilité en camping, tandis que le plus léger, à la batterie au lithium, me procure une impression de jeunesse. 

Et les deux jours à Granby ont, en cela, répondu amplement à mes attentes. Ce fut le bonheur total.


En prime, malgré le temps frisquet, deux repas à l’extérieur devant un petit feu, dans un camping déserté. Je suis comblée.

samedi 24 septembre 2011

Sur les rives du Saint-Laurent


Après les émotions du vendredi (ce n'est pas parce qu'on ne saute pas au plafond qu'on n'a pas d'émotions et ce n'est pas tant la nouvelle de la sortie de mon roman comme tous les commentaires et réactions qui ont suivi qui m'ont fait vivre bien des émotions, de la fébrilité), j'ai pu reprendre le tri de mes photos, le post traitement surtout (vous souvenir que j'ai un nouvel appareil que j'ai testé, genre prendre 320 photos pour n'en garder qu'une quarantaine) des plus belles. 

Cliquer ICI ou sur la photo pour voir l'album photos de cette escapade d'une dizaine de jours sur les deux rives du Saint-Laurent.

dimanche 21 février 2010

Toutes des vieilles affaires

Dans ma tête, les sujets sont là, parfois brouillons, parfois précis, rarement travaillés. Trop courts pour un billet et trop paresseuse pour les publier, je les ramasse. Voici d’un seul bloc toutes mes petites pensées des derniers jours.

où mon petit cœur a pompé, où je n’ai pas réussi à me rendre au belvédère tout en haut, parce que même si j’ai un bon sens de l’orientation, même si j’avais regardé le plan comme il faut avant de m’aventurer sur une piste, même si j’avais eu la carte des sentiers en main, non je n’étais pas certaine du tout que ce sentier bien indiqué d’un carreau noir et du chiffre 4 corresponde au sentier qui devrait être jaune, se nommer Le Grand Pic et ne pas être numéroté. Après une heure et 45 minutes, j’avais dû mal à croire que je n’avais pas parcouru 1,3 kilomètre. Mais bon, j’étais contente, c’était beau, la neige était plus abondante que chez nous et puis je me souvenais de ce belvédère visité en été.

Deuxième sujet non traité : j’ai lu Des cendres et du feu de Georges Lafontaine. J’achève de lire L’Orpheline que je voudrais bien terminer avant le salon du livre de l’Outaouais parce que l’auteur sera peut-être là, à attendre, en compagnie de quelques autres, pour voir si son L’Orpheline en lice pour l’obtention du Prix du journal Le Droit, va gagner. Prix que je surveillerai beaucoup plus pour la poésie et la jeunesse parce que j’y connais quelqu’une : Loïse Lavallée en poésie et Andrée Poulin, catégorie Jeunesse. Et je souhaite qu'elles gagnent.
Une des raisons qui me font aimer cet auteur, c’est évidemment parce qu’il parle de lieux que je connais : Gatineau, Ottawa, l’Outaouais. Et puis signe que c’est bien : j’avais toujours hâte de reprendre la lecture. Intrigue intéressante.

Troisième sujet non traité : Le chèque de la Commission du Droit public. En effet chaque année, fin février, pourvu qu’il ait publié et prenne la peine de remplir le formulaire d’inscription, l’auteur reçoit un chèque. Jusqu’à sa mort. Je le sais parce que mon père n’y a plus eu droit une fois décédé. Dommage, j’étais son héritière de cette partie!!! Et puis, je ne savais plus très bien quoi en dire qui ne soit pas clairement expliqué sur leur site. Alors je n'ai fait que noter le sujet.

Et puis, dernier point, ce matin, je décide de me faire plaisir. Un plaisir masochiste parce que je n’ai pas les moyens d’en changer, mais je me suis rendue au Parc Lansdowne, à Ottawa. Prête à parler anglais, ce qui ne fut absolument pas nécessaire, ce qui ne m’était jamais arrivé en 40 ans de fréquentations avec cette ville, capitale nationale. Salon du VR. Vr = véhicule récréatif. Eh oui, j’en ai un, j’en fais, je suis une caravanière invétérée. À la veille de partir d’ailleurs. Les deux dernières années, j’étais déjà partie à cette date.

Je pourrais vous conter mes débuts de campeuse et comment j'ai troqué la tente contre le VR, mais vous pouvez toujours lire cette page en attendant. Heureusement pas eu de coup de cœur à ce Salon, de voir d’autres VR m’a fait m’apercevoir que j’aimais encore le mien, même s’il est démodé. J’aime encore le « floor plan » qui fut réaménagé selon nos besoins. Je trouve toujours aussi absurde ces grosses machines où on peut coucher six ou huit personnes alors qu’il n’y a de la place que pour quatre à table. Et puis ça nous permet de rêver. Au jour peut-être où je vivrais six mois dans le sud et six mois au Québec. Qui sait. Mais je me demande ce que je lirais pendant six mois aux États?

Voilà, enfin écrites, je me sens plus libre d’accumuler d’autres pensées toujours aussi variées, légères et probablement complètement inutiles à la majorité des gens.

(photo: mon vieux VR mais que je vendrais pas pour tout l'or du monde...  ben ça dépend combien!)

mardi 3 mars 2009

J'aime aussi le camping

Je suis fière de vous présenter un nouveau blogueur:
Paul Laquerre, rédacteur en chef de la FQCC (Fédération québécoise du camping et du caravaning). Un nouveau venu dans le monde des carnets, mais pas du camping, ni dans l'écriture. Il conjugue deux de mes passions: écrire et le caravaning. Chanceux. Je lui souhaite bonne chance.