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mercredi 19 avril 2017

Zoothérapie

Une journée de ciel bleu, d’humeur bleue. Un après-midi sans nuages, sans irritants. Juste les yeux plissés de curiosité des cerfs, les bouches gourmandes des faons en attente de carottes ou de pommes. Juste les bisons ou les renards qui se prélassent au soleil, ce qui donne envie de nous laisser aller, nous aussi, à la douceur de vivre. 

Du silence et du temps. 
Rien qu’eux et moi. 
Dans un environnement qui passe du lac encore un peu gelé aux bourgeons hésitants. 
Dans un univers de bois sculpté, arrondi, couché. 
Un monde de forêt, de roches et d’eau.
La vie, le moment présent. 

À trier, retoucher les photos prises au Parc Omega, j’ai réussi à oublier une blogueuse condescendante qui a daigné fréquenter, le temps d’un livre «léger», la «littérature romanesque».
J’ai réussi également à ne pas trop regretter ce rendez-vous manqué avec ma meilleure amie que je ne vois pas assez souvent, et cette escapade, prétexte à aller chercher ce crabe tant aimé, que j’ai dû remettre, la température ayant décidé de contrecarrer mes projets… 

Les animaux, la nature sauront toujours me ramener à ma planète positive. La seule que, même malmenée, je ne devrais pas quitter.
























Pour les personnes qui ne connaissent pas Parc Oméga, sachez que c'est un parc animalier (exclusivement animaux sauvages) situé en Outaouais, à cinq minutes au nord de Montebello, près de l'autoroute 50. 

dimanche 15 mars 2015

Traces fraîches

Où ai-je donc laissé des traces ces derniers jours? Comme je porte plusieurs chapeaux, que plusieurs passions m’animent, petit tour d’horizon.
Photographie : Comme je trouvais que mes photos n’étaient pas aussi belles ou claires ou lumineuses que celles d’il y a quelques années, je voulais nettoyer le capteur. Juste avant de faire une bêtise, j’ai eu la bonne idée de demander à un photographe professionnel comment procéder. Sa réponse rapide et précise :
— Tu ne touches pas à ça.
— Mais vous alors, vous pouvez me le nettoyer?
— Je confie ça à des spécialistes.
Fin du nettoyage, mes photos resteront ce qu’elles sont.

Généalogie : Le 19 avril prochain, j’assisterai à une conférence et visiterai l’exposition consacrée aux soldats de Carignan, dans le cadre du 350e anniversaire de leur arrivée (en savoir plus >>>). En tant que descendante de deux soldats de Carignan : Du côté de ma mère : François Deguire dit Larose, compagnie de Saurel et du côté paternel : Jean Lamarche dit Bricault, compagnie de Dugué. Si les Lamarche n’ont pas de regroupement, les Deguire en ont un et c’est avec lui que j’irai. Si ça vous intéresse, consultez la page Facebook  (voir>>>) créée pour les descendants de François Deguire dit Larose.
D’ailleurs, bientôt, j’aurai une petite surprise à ce sujet. Bien hâte de vous montrer.

Voyage : Je devais partir en Floride, le camping était réservé, le motorisé déneigé, les bagages commencés et voilà que le doute et les questions se sont faufilés dans mes nuits. Ça ne me tentait plus : de surveiller la météo pour m’assurer de la chaussée sèche les deux premiers jours, de rouler onze heures d’affilée pour atteindre la chaleur le plus vite possible, de laisser les travaux de la maison en plan, de chercher des campings lors du retour, de devoir réserver parce que tout est plein en janvier-février-mars, de rester plantée au même endroit, tout ensoleillé soit-il, pendant cinq-six semaines, simplement à attendre que l’hiver finisse. Voyager pour moi, c’est voir des paysages différents, être dans la nature, camper sur le bord d’un cours d’eau, marcher, pédaler, faire un feu le soir. Pas me dépêcher, pas voir du monde, entendre de la musique. Pas tous les jours en tout cas.
Donc, je suis restée. Et je ne le regrette pas.

Lecture : J’ai lu avec un grand plaisir Papillons d’Annie Loiselle (éditions Stanké).
Un style très à la mode depuis quelques années : parfois un mot pour une phrase, parfois une ligne pour un paragraphe, parfois une page pour un chapitre. De très rares dialogues. Même David Foenkinos dans sa Charlotte (Prix Renaudot 2014) a succombé à la tentation de ce style vif et incisif. Une musicalité et un rythme différents. Papillons, donc, l’histoire de quatre femmes : la mère et ses trois filles à la mort du mari-père. Leurs amours, leurs relations, leurs pensées, leurs présents et leurs chemins.
Deuxième lecture : Monstera delicisosa de Lynda Dion. Un roman court, vraiment court qui aurait pu être une longue nouvelle suivie de quelques autres. Je n’ai pas compris l’illustration de la couverture, pourquoi pas cette plante envahissante, ce faux philodendron qui sert de propos au roman? Mais comme j’avais aimé La maîtresse et dévoré… La dévorante, j’étais devenue une inconditionnelle. Le suis toujours malgré ma déception : j’en aurais voulu plus. Encore. L’auteure cultive elle aussi le style un mot - une phrase - une page. Ce qui donne vraiment du « punch » au texte. Un dynamisme, une énergie qui va droit au but, qui va direct au cœur.

Écriture maintenant, que je gardais pour la fin parce que c’est ce qui m’a procuré le plus de plaisir ces dernières semaines : la révision de mon roman Les têtes bouclées. Pour la première fois, la correction ne m’a pas menée sur le chemin du doute sur mon talent, de la mésestime de moi. Au contraire, comme un escalier dans lequel je montais, vers un grand ciel bleu, vers du meilleur. Grâce à ma réviseure, je dois le dire. Par ses remarques, ses suggestions, elle a su me montrer le chemin de l’amélioration, du peaufinage. Une route joyeuse, sans embûches. Que du plaisir.
De plus, en allant au Salon du livre de l’Outaouais, j’ai pu discuter avec le responsable du montage et nous avons convenu des dates à venir. Donc, du concret, du réel, du cette année, du bientôt.


Voilà donc les traces laissées ces derniers jours. 

lundi 8 décembre 2014

Certains matins...


Certains matins, les mots tardent à arriver ou ne s’assemblent pas en phrases.
Certains jours, l’esprit a besoin de s’aérer, de respirer.
Ce jour-là, ce matin-là, dehors, la nature s'est fait lumière, s'est fait couleurs.
C’est aussi ça la vie. Peut-être la seule vraie.
La mienne en tout cas.

(photos de l'auteure)

dimanche 5 octobre 2014

Escapade dans le temps

Sur le Chemin du Roy:
Champlain
Batiscan
Grondines
Deschambault
Portneuf
Cap-Santé
Neuville
Saint-Augustin-Desmaures 

Du soleil, des couleurs automnales, un vent chaud, le fleuve qui se laisse aimer, une marée douce, qui d'un seul regard me foudroie directement au cœur et me ramène à une vie dont l'interprétation m'échappe. La nature est riche et m'enrichit. 


Le temps s'arrête, recule. Des lieux, des histoires, des colons, des meuniers, des religieux qui vivaient en 1700, en 1800 ont laissé des traces que leurs descendants ont à cœur de conserver.


Arrêt à Portneuf, visite de la boutique de l'artiste peintre Suzanne Claveau. 
Beauté, originialité, couleurs, maisons et paysages très québécois.

Accueil chaleureux, souper sur le quai de la marina, dodo côté jardin, chez l'artiste.


Puis, après le Chemin du Roy, la Nouvelle-France, une petite route près de Saint-Joachim qui longe le fleuve, au pied du mont Sainte-Anne.

En espérance des oies qui retardent.
Goûter champêtre aux saveurs du terroir, à prendre son temps, à le gagner et non le perdre.

Coucher en face de la basilique de Sainte-Anne-de-Beaupré. Jasette avec un membre de forum de camping qui a reconnu Chevreuil.


Terminer cette petite escapade joyeuse au pays des Wendat, au nord de la ville de Québec. J'aime bien qu'on me raconte une histoire, surtout si elle est différente de celle qu'on nous a apprise à l'école. Une heure de promenade dans les rues étroites parsemées de petits mocassins blancs comme autant de cailloux pour trouver notre route. Descendre et monter 150 marches pour entendre la cascade de la rivière Saint-Charles. Une autre heure à déguster des produits du gibier, de la pêche, au restaurant La Sagamité. Une bonne heure aussi pour une visite guidée par une Innu-Montagnaise qui nous fait entrer dans les secrets de la palissade et de la maison longue. Et encore une petite demi-heure pour flâner dans les boutiques sans trouver l'ours ciselé dans une corne de cerf.

Et au retour, au lendemain d'une nuit tranquille à la Halte Vr du Palais de glace, malgré la pluie, avoir le plaisir de découvrir la station Radio-Classique et penser à télécharger l'application sur cet engin moderne du 21e siècle, bien loin des tambourins amérindiens, qu'est la tablette.

La fatigue m'assaille, le thermomètre chute, les feuilles tombent. Me faudra-t-il revenir dans une autre vie pour me décider à m'établir au bord d'un de ces cours d'eau qui pleure de nostalgie au fond de mon coeur?

mardi 23 juillet 2013

Complètement inutile?

Je vous le dis tout de suite, ce billet ne sera pas aussi émouvant ou touchant que les derniers. D’ailleurs, quand je les écris, ces billets, je ne sais pas qu’ils se seront, c’est vous qui me dites qu’ils le sont. 

L’art de perdre son temps. Je n’ai jamais été et ne serai jamais une adepte du ménage, ni de la mode. Pourtant ce matin, je naviguais dans ces eaux-là. Ça doit être cyclique, dans mon cas. Comme quand on rentrait à l’école en septembre et qu’on avait le goût de mettre de l’ordre dans son bureau, si on avait la chance d’en avoir un. 

Or donc, j’avais une photo de coucher de soleil, des photos de la piste cyclable au parc de Plaisance et je me demandais quoi en faire, où les publier. Sur mon blogue, que je me suis répondu… dans ma tête, pas à haute voix, je n’en suis pas encore là ! Une fois de plus, je me suis passé la remarque que mon blogue était décidément un fourre-tout alors qu’il est fortement recommandé de n’avoir qu’un thème, quitte à créer un blogue par thème. Par paresse, je me suis contentée de publier une seule photo sur Facebook. Une ligne, une photo et c’est parti, on passe à autre chose. Tant qu’à être sur Facebook, tu lis ceci et cela, tu « partages », tu « aimes ». L’avant-midi peut y passer, nous le savons tous.

Quand même, cette mode de publier sur son site, sur son blogue, sur sa page personnelle Facebook, de créer une page Facebook uniquement pour son blogue ou pour son dernier roman commence à me tomber sur les nerfs. Un moment donné, c’est trop. Répétitif. Envahissant. Je ne vais pas tomber dans le panneau et faire la même chose ? Que non. Et puis je n’ai pas trente ans pour espérer que tout ce tapage «médiatiquement social» me rapporte des lecteurs et si possible des revenus. Je n’en suis pas là. L’ai jamais été.

N’empêche, la graphiste ludique en moi qui aime à l’occasion rafraîchir son bureau a commencé à penser : et si je changeais l’image de mon blogue. J’aimerais bien l’uniformiser à mon site, avoir comme une signature, et tant qu'à y être que mon nom de domaine pointe sur le dit blogue, beaucoup plus visité que mon site. Ce n’est pas vrai que je vais entretenir plusieurs blogues pour répondre à mes quatre passions de l’heure, soit lire, écrire, photographier et voyager. Quelle illustration ou design ou photographie pourrais-je bien trouver pour décrire ces quatre passions en un seul thème. À part «Des pages et des pages» que j’ai inventé il y a plusieurs années quand était venu le temps de monter mon site et de me trouver un nom de domaine (parce que je ne croyais pas que le seul «ClaudeLamarche.com» allait être un indicatif suffisant.) 

Et j’ai trouvé. Est-ce que je le dis tout de suite ou je garde le suspens quand j’aurai réuni tous les éléments dont j’ai besoin ? Oui, je vais essayer de retenir mon enthousiasme. Mais n’allez pas croire que ça va révolutionner quoi que ce soit. Ce sera complètement inutile, ce sera le même fouillis, mais un fouillis au goût du jour. On va dire !

(Photographie de l'auteure: en face de chez elle)

vendredi 12 juillet 2013

Entre Tremblant et Labelle

Quand je pédale, je ne pense pas, j’avance à l’automatisme
Quand j’avance, je regarde à gauche, à droite, en avant aussi
Quand je regarde, je vois des couleurs, des lignes, des paysages
Quand je vois la nature comme je l’aime, j’arrête
Quand j’arrête, je cherche la lumière, je cherche le meilleur angle, je cherche à faire beau, à créer l’émotion.
Quand je cherche à émouvoir, c’est une autre façon de dire, une autre façon d'écrire la journée que je vis
Parfois je réussis à ma satisfaction, parfois moins, parfois plus

Et je suis heureuse

(photos de l'auteure prises sur la piste cyclable du parc linéraire, entre Tremblant et Labelle: 37 kilomètres)







mercredi 3 juillet 2013

Les plaisirs d'une journée bien remplie

Se réveiller avec des phrases très claires au sujet de son roman, sentir que l’idée devrait tenir au moins cinq pages, savoir qu’elles vont au tout début du roman. 

Se lever et, comme chaque matin, regarder dehors, se demander si on irait prendre quelques photos, mais trouver finalement que la lumière n’en vaut pas la peine. 

Ouvrir son fichier de roman, s’apercevoir qu’on est encore sur la version de janvier, en profiter pour la sauver sous le mois de juillet 2013. Jeter rapidement les phrases qui nous hantaient dès potron-jacquet. S’apercevoir que ça ne fait finalement qu’une page. 

Préparer café et rôties, les apporter à côté de son clavier. 

Regarder ses courriels, rager encore un peu parce qu’un hébergeur tarde à fournir le code d’autorisation pour pouvoir transférer un nom de domaine dont on est responsable et savoir qu’il ne reste que dix jours pour le renouveler. Avoir encore en mémoire un autre nom de domaine qui a été en « rédemption » parce que le délai du renouvellement avait été dépassé de quarante jours (quarante jours, rédemption, ça rappelle pas le monde judéo-chrétien de son enfance, ça? Ne pas s’éparpiller, se concentrer) et réclamer plus de 150$ au propriétaire pour le racheter. Découvrir une autre facette de ce monde merveilleux de l’informatique. 

Ouvrir sa page d’accueil « My feedly » et s’ennuyer à mort de son « Google Reader » qui avait au moins le mérite d’être en français. Lire le blogue de Dominique Riendeau qui donne le goût d’aller voir le livre dont elle fait la critique : L’air du temps de Hélène Custeau. Cliquer sur l’onglet BANQ où on emprunte régulièrement des livres numériques, constater que L’air du temps n’est pas disponible, mais que Tant qu’il y aura des rivières l'est. Le télécharger, aller chercher sa liseuse sur sa table de chevet, la brancher, ouvrir le logiciel, synchroniser, attendre un peu et lire les premières pages du roman et savoir tout de suite que l’on va poursuivre. Mais pas avant d'avoir terminé La fiancée américaine de Éric Dupont que l'on aime beaucoup. 

Regarder la météo sur la barre de tâches et décider que c’est la journée idéale pour aller se balader en vélo au parc de Plaisance. Préparer un lunch, monter le vélo sur le support. Ne pas oublier son sac où appareil photo et objectif attendent que vous les utilisiez. Se réjouir à l’avance de ce double plaisir : vélo et photo. 

Revenir quelques heures plus tard, enchantée. Prendre un verre de vin rouge en préparant le souper. Faire un petit feu dans le foyer extérieur, question de brûler le bois fendu il y a deux et même trois hivers. Jouir encore de ces quelques heures où il ne pleut pas. 

Rentrer vers 21 heures et se décider à visionner, traiter ses photos prises au parc de Plaisance et se coucher seulement quand elles seront sur son site. 

Se coucher, contente de sa journée, en se demandant pourquoi diable avoir envie d’écrire un roman au petit matin quand il y a tellement mieux à faire de toute la journée !

Se réveiller le lendemain matin, avec encore des phrases dans la tête. De ce billet cette fois-ci.

Site de la BANQ>>>
Album photo des randonnées au parc de Plaisance>>>

vendredi 25 janvier 2013

Un an plus tard, encore à moins 28 degrés


L'an dernier, presque jour pour jour, j'étais sortie à 7 heures le matin, à moins 28 degrés. Voir par là >>>
Ce matin, quand j'ai vu la lune se coucher à l'ouest, un peu brouillée et le soleil se lever à l'est, très orangé, je n'ai pas hésité, j'ai eu le goût d'aller voir l'effet de la lumière sur la neige.
Il doit y avoir court-circuit dans mon cerveau: pour quelqu'un réputée avoir la parole et la plume faciles, devant la nature, devant la beauté, je suis sans mots. En revanche, mes yeux prennent la relève et ça me contente.
J'ai ajouté ces photos dans mon album d'hiver>>>

vendredi 21 décembre 2012

Tout simplement joyeuses fêtes

Les mots seraient clichés, quoique sincères. alors je préfère une photo de mon cru.
Peut-être cliché elle aussi, finalement, mais la douce lumière et l'ombre furtive annoncent des jours de joie, c'est ce que je vous souhaite pour les jours qui viennent.


lundi 10 décembre 2012

Il y a des jours où c'est quand même beau l'hiver!

Nénuphars de glace
(cliquez sur la photo pour l'agrandir)
Tortue gelée
(cliquez sur la photo pour l'agrandir)
... et ces jours-là doivent nous faire oublier la mauvaise humeur, la bêtise humaine et la météo contrariante voire chian...
Vivez-vous de tels jours?

(les photos sont de l'auteure)

lundi 5 novembre 2012

Ça y est, l'hiver est arrivé!

Quand les premiers flocons tombent, pour moi, c'est signe que l'hiver est arrivé. En tout cas les photos vont dans le fichier hiver et non automne. Il y a deux semaines, j'avais les deux pieds dans le sable et ce matin, la tuque sur la tête!
Et pour vous, quels sont les indices non pas annonciateurs, mais ceux qui font la différence: une minute avant c'est l'automne, une minute après, c'est l'hiver?







(photos de l'auteure, copyright à respecter)

vendredi 2 novembre 2012

Au pays des ciels en couleurs

Dès le premier matin et jusqu'au dernier soir, à Myrtle Beach, Caroline du Sud, j'ai eu le bonheur de voir le ciel passer du noir au gris, au rose. Toutes les teintes de roses en fait. Le dernier soir, juste avant l'arrivée de l'orage Sandy, on aurait dit que le ciel était en feu. Et les autres jours, ceux sans nuages, furent un délice pour marcher sur la plage ou juste regarder la mer, activité dont je ne me lasse pas.
Et vous, qu'avez-vous vu de beau en octobre?
Bon visionnement. Cliquez sur les photos pour en voir d'autres.

Les levers de soleil
Les couchers de soleil

La mer

Les oiseaux
Le quai

(Toutes les photos sont de l'auteur)